Notre ordre s’investit de ces principes et directives écrites jadis par René Schwaller de Lubicz pour le groupe TA-MERI, ils sont une boussole pour l’initié de tout niveau, en eux sont cachés une profonde sagesse et l'essence des mystères hermétiques. Nous vous les confions qu’ils vous éclairent sur votre chemin...
Principes Généraux
L’expérience spirituelle est personnelle, elle ne se communique pas. L’Etre « ravi » devient l’En-Soi du Dieu, il ne peut pas décrire ce qu’il a vécu si ce n’est qu’en impressions générales.
Ceci est le sanctuaire secret du Temple.
Etre dans l’En-Soi de ce qui est contemplé, c’est connaitre, mais ce n’est pas la Connaissance qui est l’aspect descriptible de la Sagesse. La Connaissance est le Temple couvert comprenant l’intérieur de tous les sanctuaires définis.
La Sciences est la circum-description des phénomènes, le monde de la dialectique.
C’est le péristyle du Temple, le déambulatoire de ceux qui doutent et cherchent.
La Sagesse est le milieu en lequel se trouve le Temple, c’est l’ensemble fonctionnel de la Nature, non la Loi mais ce qui régit la Loi.
Pour passer, de la Nature qui contient, dans le Temple couvert, il faut l’Aimant qui attire et concentre la Sagesse invisible et la rend visible, expérimentale et descriptible.
L’Aimant est la consciente pauvreté et simplicité d’esprit, l’éponge sèche qui aspire toute humidité, le sillon tracé dans la terre appauvrie qui appelle, avec la rosée et la lumière, l’influx du ciel, le prisonnier qui se sait enfermé et qui souffre vers la liberté.
L’Aimant attire ce qui est de la nature de son origine.
Ainsi se ferme le circuit, et l’homme est, dans le Tout, le dernier fruit ; c’est pourquoi tout l’Univers est fonctionnellement en lui : ainsi l’homme est solidaire de tout.
L’homme est aimant de la Connaissance par la Sagesse, puisque toute la Nature est fonctionnellement en lui, mais sa forme corporelle n’est qu’un aspect de passage, une fondation pour le Temple qui est l’Homme cosmique.
A travers l’homme-Aimant la Sagesse peut exprimer la Connaissance : il est une médiété.
La Connaissance ne s’exprime que par le symbole, et le symbole hiératique ne se lit que par méditation.
Il y a des « œuvres d’éternité » : celles qui sont bâties sur des bases invariables et avec des matériaux de vérité. Il y a des hommes devenus immortels : ceux qui ont dit et fait ce qui variera jamais avec le temps et qui ont détruit en eux tout ce qui est destructible, ceux qui ont su se réjouir de leur désolation de ne pas être immortels.
La Vérité est.
La Connaissance existe. Elle seule vaut toutes les peines de vivre.
Les Directives
Une seule Vérité : l’Unité est insécable.
Une Seule Réalité : le Verbe et son évolution en conscience.
Une seule morale générale : par l’Homme cosmique chacun est solidaire de tous les hommes, chacun est responsable ou bénéficiaire des actes mauvais ou bons de tous les hommes ; l’humanité est un tout uni en l’homme.
Une seule Connaissance : la Genèse.
Une seule Science pure : les Nombres
Une seule expression : le Symbole.
Un seul moyen : l’Harmonie ; elle a sa source dans le désordre où les parties désunies se retrouvent, naturellement et d’elles-mêmes, par affinité.
L’Esprit est au commencement et à la fin de toute forme.
La forme est le symbole d’une fonction.
La Sagesse est la parfaite harmonie de toutes les fonctions.
Principes Généraux
L’expérience spirituelle est personnelle, elle ne se communique pas. L’Etre « ravi » devient l’En-Soi du Dieu, il ne peut pas décrire ce qu’il a vécu si ce n’est qu’en impressions générales.
Ceci est le sanctuaire secret du Temple.
Etre dans l’En-Soi de ce qui est contemplé, c’est connaitre, mais ce n’est pas la Connaissance qui est l’aspect descriptible de la Sagesse. La Connaissance est le Temple couvert comprenant l’intérieur de tous les sanctuaires définis.
La Sciences est la circum-description des phénomènes, le monde de la dialectique.
C’est le péristyle du Temple, le déambulatoire de ceux qui doutent et cherchent.
La Sagesse est le milieu en lequel se trouve le Temple, c’est l’ensemble fonctionnel de la Nature, non la Loi mais ce qui régit la Loi.
Pour passer, de la Nature qui contient, dans le Temple couvert, il faut l’Aimant qui attire et concentre la Sagesse invisible et la rend visible, expérimentale et descriptible.
L’Aimant est la consciente pauvreté et simplicité d’esprit, l’éponge sèche qui aspire toute humidité, le sillon tracé dans la terre appauvrie qui appelle, avec la rosée et la lumière, l’influx du ciel, le prisonnier qui se sait enfermé et qui souffre vers la liberté.
L’Aimant attire ce qui est de la nature de son origine.
Ainsi se ferme le circuit, et l’homme est, dans le Tout, le dernier fruit ; c’est pourquoi tout l’Univers est fonctionnellement en lui : ainsi l’homme est solidaire de tout.
L’homme est aimant de la Connaissance par la Sagesse, puisque toute la Nature est fonctionnellement en lui, mais sa forme corporelle n’est qu’un aspect de passage, une fondation pour le Temple qui est l’Homme cosmique.
A travers l’homme-Aimant la Sagesse peut exprimer la Connaissance : il est une médiété.
La Connaissance ne s’exprime que par le symbole, et le symbole hiératique ne se lit que par méditation.
Il y a des « œuvres d’éternité » : celles qui sont bâties sur des bases invariables et avec des matériaux de vérité. Il y a des hommes devenus immortels : ceux qui ont dit et fait ce qui variera jamais avec le temps et qui ont détruit en eux tout ce qui est destructible, ceux qui ont su se réjouir de leur désolation de ne pas être immortels.
La Vérité est.
La Connaissance existe. Elle seule vaut toutes les peines de vivre.
Les Directives
Une seule Vérité : l’Unité est insécable.
Une Seule Réalité : le Verbe et son évolution en conscience.
Une seule morale générale : par l’Homme cosmique chacun est solidaire de tous les hommes, chacun est responsable ou bénéficiaire des actes mauvais ou bons de tous les hommes ; l’humanité est un tout uni en l’homme.
Une seule Connaissance : la Genèse.
Une seule Science pure : les Nombres
Une seule expression : le Symbole.
Un seul moyen : l’Harmonie ; elle a sa source dans le désordre où les parties désunies se retrouvent, naturellement et d’elles-mêmes, par affinité.
L’Esprit est au commencement et à la fin de toute forme.
La forme est le symbole d’une fonction.
La Sagesse est la parfaite harmonie de toutes les fonctions.